Boy est un dur, un vrai de vrai. Un guerrier sans merci, traumatisé depuis son enfance par le meurtre de sa mère et de sa sœur par la dictatrice d’un royaume imaginaire. Formé au combat par un guerrier shaolin, il cherche désormais à prendre sa revanche. Derrière ce synopsis qui semble tout droit sorti d’un film de kung-fu des années 1970 se cache une pépite pop inspirée par les comics Marvel et l’univers des mangas. Boy Kills World puise intelligemment dans ces deux médiums pour offrir un divertissement décomplexé, qui oscille entre punchlines bien senties et scènes de baston en plans-séquences.
Les scénaristes Arend Remmers et Tyler Burton Smith offrent une plus-value à ce joyeux spectacle