En ce qui concerne la dévastation psychologique, Ortiz fait un excellent travail en faisant de Manel un protagoniste attachant et rafraîchissant. Bien que la plupart de ses interactions se fassent avec un chat ou un écran de téléphone, on a vraiment l’impression que ce voyage le pousse à bout sans qu’il soit nécessaire de le transformer en un tueur de zombies badass