Bensetti actuellement en salles également avec la comédie “Jamais sans mon Psy” (2024) de Arnaud Lemort… Pour la B.O., trois artistes ont collaboré, Nicholas Britell fidèle de Barry Jenkins et qui a depuis signé les B.O. de “Le Roi” (2019) de David Michôd, “Cruella” (2021) de Craig Gillepsie et “Carmen” (2023) de Benjamin Millepied, la pop star Pharrell Williams déjà à l’oeuvre sur la saga d’animation “Moi Moche et Méchant” (2010-2024) mais aussi avec Hans Zimmer sur “The Amazing Spider-Man : le Destin d’un Héros” (2015) de Marc Webb et “Les Figures de l’Ombre” (2017) de Theodore Melfi, puis enfin David Metzer, spécialiste de l’orchestration ayant beaucoup travaillé sur des productions Disney mais aussi et surtout à Broadway dont la comédie musicale “Le Roi Lion” (1997)… Il avait été annoncé que la structure narrative était similaire au film “Le Parrain 2” (1974) de F.F. Coppola, mais il en est rien. Ce n’est nullement deux récits parallèles mais bien un simple grand flash-backs avec quelques retour au présent. Ainsi on suit l’enfance et la jeunesse de Mufasa et Taka/Scar raconté par Rafiki, et quelques retours brefs dans le présent permettent surtout d’imposer les personnages cultes de Timon et Pumba. Malheureusement on constate vite que ces deux personnages sont présents car leur statut reste important mais ils s’avèrent sous-exploités et leur présence reste très anecdotique. Dommage dans un sens car le seul humour (très connu et encore plus basique) du film repose sur eux. Les effets visuels sont sublimes, au point que nous ne sommes pas dans du Live action (pas assez réaliste) mais si bluffant qu’on n’est pas non plus dans de l’animation. L’illusion est magique et l’immersion paraît comme dans un monde parallèle, un mutliverse du Roi
Bensetti actuellement en salles également avec la comédie “Jamais sans mon Psy” (2024) de Arnaud Lemort… Pour la B.O., trois artistes ont collaboré, Nicholas Britell fidèle de Barry Jenkins et qui a depuis signé les B.O. de “Le Roi” (2019) de David Michôd, “Cruella” (2021) de Craig Gillepsie et “Carmen” (2023) de Benjamin Millepied, la pop star Pharrell Williams déjà à l’oeuvre sur la saga d’animation “Moi Moche et Méchant” (2010-2024) mais aussi avec Hans Zimmer sur “The Amazing Spider-Man : le Destin d’un Héros” (2015) de Marc Webb et “Les Figures de l’Ombre” (2017) de Theodore Melfi, puis enfin David Metzer, spécialiste de l’orchestration ayant beaucoup travaillé sur des productions Disney mais aussi et surtout à Broadway dont la comédie musicale “Le Roi Lion” (1997)… Il avait été annoncé que la structure narrative était similaire au film “Le Parrain 2” (1974) de F.F. Coppola, mais il en est rien. Ce n’est nullement deux récits parallèles mais bien un simple grand flash-backs avec quelques retour au présent. Ainsi on suit l’enfance et la jeunesse de Mufasa et Taka/Scar raconté par Rafiki, et quelques retours brefs dans le présent permettent surtout d’imposer les personnages cultes de Timon et Pumba. Malheureusement on constate vite que ces deux personnages sont présents car leur statut reste important mais ils s’avèrent sous-exploités et leur présence reste très anecdotique. Dommage dans un sens car le seul humour (très connu et encore plus basique) du film repose sur eux. Les effets visuels sont sublimes, au point que nous ne sommes pas dans du Live action (pas assez réaliste) mais si bluffant qu’on n’est pas non plus dans de l’animation. L’illusion est magique et l’immersion paraît comme dans un monde parallèle, un mutliverse du Roi Lion en quelque sorte.
L’aventure débute par des drames, rien de plus tristes mais rien de plus nécessaire pour forger un destin. Le rythme est soutenu, la tension constante, les rapports humains (animaliers ?!) sont toujours plein d’acuité, juste et façonnent une nouvelle vision du cycle de la vie. La plus grosse déception repose sur deux erreurs narratives, deux maladresses flagrantes dans l’écriture et l’évolution du récit… ATTENTION SPOILERS !… Mufasa préfère s’arrêter et combattre car il a peur de l’eau, puis finalement fuit, ah ben oui il suffisait de sauter sur les rochers ! Mais surtout, comment Taka retrouve-t-il ses “amis” après sa trahison ?! Et pourquoi alors les lions blancs ne l’ont tout simplement pas suivi aussitôt ?! … FIN SPOILERS !… Deux incohérences assez énormes qui gâchent un peu le film qui frôle le chef d’oeuvre sur les autres parties. Et ce, même si moralement il y a aussi quelques débats en filigrane… ATTENTION SPOILERS !… une trahison pour une autre entre Mufasa et Taka (même si celle de Mufasa paraît moins “grave”), mais Taka sauve la vie de Mufasa à plusieurs reprises, l’inverse n’arrive jamais !… FIN SPOILERS !… Une injustice étonnante dans l’évolution du récit, il aurait fallu un rapport de force plus ambigu pour asseoir plus assurément le trône de Mufasa. Néanmoins, Barry Jenkins signe un grand film d’aventure, avec de l’action et de l’émotion et surtout on apprécie ce souffle épique qui explose dans la dernière partie qui en fait une fresque pleine de force. Un très bon moment, qui ne peut obtenir une note maximale par une incohérence trop flagrante dans le scénario.
Lion en quelque sorte.
L’aventure débute par des drames, rien de plus tristes mais rien de plus nécessaire pour forger un destin. Le rythme est soutenu, la tension constante, les rapports humains (animaliers ?!) sont toujours plein d’acuité, juste et façonnent une nouvelle vision du cycle de la vie. La plus grosse déception repose sur deux erreurs narratives, deux maladresses flagrantes dans l’écriture et l’évolution du récit… ATTENTION SPOILERS !… Mufasa préfère s’arrêter et combattre car il a peur de l’eau, puis finalement fuit, ah ben oui il suffisait de sauter sur les rochers ! Mais surtout, comment Taka retrouve-t-il ses “amis” après sa trahison ?! Et pourquoi alors les lions blancs ne l’ont tout simplement pas suivi aussitôt ?! … FIN SPOILERS !… Deux incohérences assez énormes qui gâchent un peu le film qui frôle le chef d’oeuvre sur les autres parties. Et ce, même si moralement il y a aussi quelques débats en filigrane… ATTENTION SPOILERS !… une trahison pour une autre entre Mufasa et Taka (même si celle de Mufasa paraît moins “grave”), mais Taka sauve la vie de Mufasa à plusieurs reprises, l’inverse n’arrive jamais !… FIN SPOILERS !… Une injustice étonnante dans l’évolution du récit, il aurait fallu un rapport de force plus ambigu pour asseoir plus assurément le trône de Mufasa. Néanmoins, Barry Jenkins signe un grand film d’aventure, avec de l’action et de l’émotion et surtout on apprécie ce souffle épique qui explose dans la dernière partie qui en fait une fresque pleine de force. Un très bon moment, qui ne peut obtenir une note maximale par une incohérence trop flagrante dans le scénario.
Bensetti actuellement en salles également avec la comédie “Jamais sans mon Psy” (2024) de Arnaud Lemort… Pour la B.O., trois artistes ont collaboré, Nicholas Britell fidèle de Barry Jenkins et qui a depuis signé les B.O. de “Le Roi” (2019) de David Michôd, “Cruella” (2021) de Craig Gillepsie et “Carmen” (2023) de Benjamin Millepied, la pop star Pharrell Williams déjà à l’oeuvre sur la saga d’animation “Moi Moche et Méchant” (2010-2024) mais aussi avec Hans Zimmer sur “The Amazing Spider-Man : le Destin d’un Héros” (2015) de Marc Webb et “Les Figures de l’Ombre” (2017) de Theodore Melfi, puis enfin David Metzer, spécialiste de l’orchestration ayant beaucoup travaillé sur des productions Disney mais aussi et surtout à Broadway dont la comédie musicale “Le Roi Lion” (1997)… Il avait été annoncé que la structure narrative était similaire au film “Le Parrain 2” (1974) de F.F. Coppola, mais il en est rien. Ce n’est nullement deux récits parallèles mais bien un simple grand flash-backs avec quelques retour au présent. Ainsi on suit l’enfance et la jeunesse de Mufasa et Taka/Scar raconté par Rafiki, et quelques retours brefs dans le présent permettent surtout d’imposer les personnages cultes de Timon et Pumba. Malheureusement on constate vite que ces deux personnages sont présents car leur statut reste important mais ils s’avèrent sous-exploités et leur présence reste très anecdotique. Dommage dans un sens car le seul humour (très connu et encore plus basique) du film repose sur eux. Les effets visuels sont sublimes, au point que nous ne sommes pas dans du Live action (pas assez réaliste) mais si bluffant qu’on n’est pas non plus dans de l’animation. L’illusion est magique et l’immersion paraît comme dans un monde parallèle, un mutliverse du Roi Lion en quelque sorte.
L’aventure débute par des drames, rien de plus tristes mais rien de plus nécessaire pour forger un destin. Le rythme est soutenu, la tension constante, les rapports humains (animaliers ?!) sont toujours plein d’acuité, juste et façonnent une nouvelle vision du cycle de la vie. La plus grosse déception repose sur deux erreurs narratives, deux maladresses flagrantes dans l’écriture et l’évolution du récit… ATTENTION SPOILERS !… Mufasa préfère s’arrêter et combattre car il a peur de l’eau, puis finalement fuit, ah ben oui il suffisait de sauter sur les rochers ! Mais surtout, comment Taka retrouve-t-il ses “amis” après sa trahison ?! Et pourquoi alors les lions blancs ne l’ont tout simplement pas suivi aussitôt ?! … FIN SPOILERS !… Deux incohérences assez énormes qui gâchent un peu le film qui frôle le chef d’oeuvre sur les autres parties. Et ce, même si moralement il y a aussi quelques débats en filigrane… ATTENTION SPOILERS !… une trahison pour une autre entre Mufasa et Taka (même si celle de Mufasa paraît moins “grave”), mais Taka sauve la vie de Mufasa à plusieurs reprises, l’inverse n’arrive jamais !… FIN SPOILERS !… Une injustice étonnante dans l’évolution du récit, il aurait fallu un rapport de force plus ambigu pour asseoir plus assurément le trône de Mufasa. Néanmoins, Barry Jenkins signe un grand film d’aventure, avec de l’action et de l’émotion et surtout on apprécie ce souffle épique qui explose dans la dernière partie qui en fait une fresque pleine de force. Un très bon moment, qui ne peut obtenir une note maximale par une incohérence trop flagrante dans le scénario.