Il y a trois ans, j’ai regardé mon premier film télougou sur grand écran et l’expérience a été si géniale que j’ai eu du mal à trouver les mots qui rendraient justice à l’émerveillement que j’ai ressenti.
C’était un film de SS Rajamouli intitulé Eaga . Et c’était l’un de mes films préférés de cette année-là.
J’ai été impressionné par l’ambition, l’audace et l’imagination débridée de Rajamouli, son dégoût de la subtilité et son goût pour l’excès. Sa compréhension de la science des extrêmes et la transformation de l’absurde en avantage sont la principale raison pour laquelle j’attendais avec impatience Bahubali-The Beginning , considéré comme le film indien le plus coûteux à ce jour.
Il s’avère que c’est exactement ce à quoi je m’attendais : méga, ingénieux et révolutionnaire. On ne s’ennuie jamais dans cette épopée fantastique de 160 minutes sur un prince perdu, une rébellion, une vengeance, une rivalité et une trahison choquante pour s’emparer du trône.
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